Le nouveau traité protégera des créatures marines comme les tortues.
Le nouveau traité protégera des créatures marines comme les tortues.

A Treaty to Protect the High Seas

Officials make a historic agreement to care for the ocean.

Un traité pour protéger la haute mer
Les autorités concluent un accord historique pour le bien de l’océan.

L’océan est rempli de merveilles. Il y a des milliers d’espèces animales sous les vagues. Malheureusement, ce monde est en danger. Il est menacé par des problèmes tels que la hausse des températures et la pollution. Toutefois, les experts souhaitent le protéger. Le 4 mars, les dirigeants se sont mis d’accord sur un traité. Celui-ci a pour objectif de protéger l’océan.

L’Organisation des Nations unies est l’instigatrice de cet accord international. Il s’intitule le traité sur la haute mer. Cet accord protégera les plantes et animaux de la « haute mer ». Les pays contrôlent souvent les eaux proches de leur territoire. Mais la haute mer se situe au-delà, bien au large. Là-bas, tous les pays peuvent pêcher, naviguer et mener des recherches. Aucun groupe spécifique ne contrôle ces zones maritimes. Il est donc difficile d’en prendre soin.

Les créatures marines sont menacées. La planète se réchauffe à cause du réchauffement climatique. Ce changement affecte les mers. Le réchauffement peut tuer les récifs coralliens. De nombreux animaux vivent dans ces récifs. En outre, certains animaux marins font l’objet d’une surpêche. La pollution plastique est un autre problème. Les animaux sont susceptibles de finir piégés dans du plastique. Ils sont aussi susceptibles de prendre les déchets pour de la nourriture et de les manger.

L’objectif du traité sur la haute mer est de lutter contre ces problèmes. L’accord permettra de créer des aires marines protégées - l’équivalent de parcs nationaux mais dans la mer. La pêche pourrait y être interdite et la pollution y serait contrôlée.

En vertu de ce traité, les pays devront partager les resources de la haute mer. C’est le cas des plantes et des animaux que nous mangeons ou dont nous exploitons les bienfaits médicaux. Le traité sur la haute mer n’est pas encore entré en vigueur. Les pays se réuniront de nouveau pour adopter, ou non, le traité.

De nombreux experts sont enthousiastes. C’est le cas de Rick Murray. Il dirige la Woods Hole Oceanographic Institution. « Ce nouveau traité est une étape historique », confie-t-il.

Cette protection concerne une région profonde et sombre de l’océan, explique l’homme. C’est la zone mésopélagique. Des animaux uniques peuplent cet endroit. Dans cette zone, une substance appelée carbone se déplace vers le fond de l’océan. Ce processus ralentit les effets du réchauffement climatique. La protection de cette zone est donc essentielle.

Selon Rick Murray, ce traité « offre de l’espoir ».

Mis à jour le 8 mars 2023, 17:01 (ET)
Par Alexa Tirapelli

A Treaty to Protect the High Seas

Officials make a historic agreement to care for the ocean.

Le nouveau traité protégera des créatures marines comme les tortues.
Le nouveau traité protégera des créatures marines comme les tortues.

Un traité pour protéger la haute mer
Les autorités concluent un accord historique pour le bien de l’océan.

L’océan est rempli de merveilles. Il y a des milliers d’espèces animales sous les vagues. Malheureusement, ce monde est en danger. Il est menacé par des problèmes tels que la hausse des températures et la pollution. Toutefois, les experts souhaitent le protéger. Le 4 mars, les dirigeants se sont mis d’accord sur un traité. Celui-ci a pour objectif de protéger l’océan.

L’Organisation des Nations unies est l’instigatrice de cet accord international. Il s’intitule le traité sur la haute mer. Cet accord protégera les plantes et animaux de la « haute mer ». Les pays contrôlent souvent les eaux proches de leur territoire. Mais la haute mer se situe au-delà, bien au large. Là-bas, tous les pays peuvent pêcher, naviguer et mener des recherches. Aucun groupe spécifique ne contrôle ces zones maritimes. Il est donc difficile d’en prendre soin.

Les créatures marines sont menacées. La planète se réchauffe à cause du réchauffement climatique. Ce changement affecte les mers. Le réchauffement peut tuer les récifs coralliens. De nombreux animaux vivent dans ces récifs. En outre, certains animaux marins font l’objet d’une surpêche. La pollution plastique est un autre problème. Les animaux sont susceptibles de finir piégés dans du plastique. Ils sont aussi susceptibles de prendre les déchets pour de la nourriture et de les manger.

L’objectif du traité sur la haute mer est de lutter contre ces problèmes. L’accord permettra de créer des aires marines protégées - l’équivalent de parcs nationaux mais dans la mer. La pêche pourrait y être interdite et la pollution y serait contrôlée.

En vertu de ce traité, les pays devront partager les resources de la haute mer. C’est le cas des plantes et des animaux que nous mangeons ou dont nous exploitons les bienfaits médicaux. Le traité sur la haute mer n’est pas encore entré en vigueur. Les pays se réuniront de nouveau pour adopter, ou non, le traité.

De nombreux experts sont enthousiastes. C’est le cas de Rick Murray. Il dirige la Woods Hole Oceanographic Institution. « Ce nouveau traité est une étape historique », confie-t-il.

Cette protection concerne une région profonde et sombre de l’océan, explique l’homme. C’est la zone mésopélagique. Des animaux uniques peuplent cet endroit. Dans cette zone, une substance appelée carbone se déplace vers le fond de l’océan. Ce processus ralentit les effets du réchauffement climatique. La protection de cette zone est donc essentielle.

Selon Rick Murray, ce traité « offre de l’espoir ».

Mis à jour le 8 mars 2023, 17:01 (ET)
Par Alexa Tirapelli

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